Trop de oui nuit gravement à votre santé (et à celle de l’AFPA)
Au quotidien nous sommes souvent sollicités par nos chefs : aider ponctuellement le collègue, intégrer de nouveaux stagiaires aux groupes existants, mener plusieurs actions en parallèle, se déplacer pour pallier une absence… Bien souvent ces requêtes ne reposent que sur notre bonne volonté, elle ne tiennent aucunement compte de notre charge de travail et elles ne prévoient rien pour nous permettre d’y répondre efficacement. Rapidement ces organisations défaillantes nous mettent en difficulté, développent notre sentiment de mal travailler et notre mal être.
4 septembre 2014 5:28